Sujet n°6 - L'auberge

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Après le départ d'Orel et de Saga de chez Kalart, Vimaire attrapa un coté du coffre, jetant un coup d'oeil à Finnan pour obtenir son aide.

Vimaire : Finnan j'ai les crocs alors si tu voulais bien attraper l'autre coté cela m'arrangerait...

Sur ce, Finnan attrapa l'autre coté et ils partirent tous deux en direction de l'auberge pour "s'en mettre plein la panse". Quand ils entrèrent dans l'auberge, Vimaire interpella gaiement le tavernier, lui commanda à manger et à boire puis ils montèrent déposer le coffre en sécurité.

Quand ils redescendirent ils virent que le tavernier avait préparé et copieusement garni une table ; ils s'installèrent et commencèrent à dévorer les mets à belles dents et à vider de nombreuses pintes.
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Quand il vit Finnan et Vimaire s'attabler, Siegfried quitta sa table et s'approcha de celle des deux compères, l'air penaud.

Siegfried (contrit) : Ecoutez les gars, j'ai pas arrêté de penser à la discussion de chez Kalart. J'ai été trop loin. Je le sais. Surtout que je ne pensais pas la moitié de ce que j'ai dit !

Il prit quelques instants, regarda la porte d'entrée comme s'il allait partir en courant. Puis se ravisant, il continua.

Siegfried : On s'est rencontrés il n'y a que quelques jours. On ne sait rien les uns des autres. Et c'est un tort. Surtout avec les buts que nous poursuivons. On ne peut pas se connaitre, s'apprécier, se faire confiance si on ne sait rien les uns des autres. Et pour cela : mea culpa. Je vous ai rejoint et j'ai été très bref. Trop. Je vous ai dit que je pourchassais des démons. C'est vrai. Mais je ne vous ai pas dit pourquoi.

Siegfried regardait les deux dans les yeux et appuyait ses paroles de gestes francs.

Siegfried : Je n'ai pas connu mes parents ou à peine. Je fus enlevé bébé par des Gnolls. Et sauvé par un groupe d'aventuriers mené par celui qui devint mon père adoptif, mon frère, mon mentor, un héros d'Impiltur appelé Suldar. C'est lui qui m'enseigna tout ce que je sais, il m'apprit ses secrets et tout ce que je devais savoir sur ce magnifique pays et son histoire. Nous voyagions sans relache pour lutter pour notre pays, dévoués corps et âme à son peuple. Et il y a quelques semaines, dans un petit village, nous avons combattu un puissant démon que nous avons fini par vaincre. Mais Suldar fut mortellement blessé durant le combat. C'est alors que tout s'est écroulé pour moi. Suldar, avant de mourir, me confia son épée, celle que je porte, en me disant qu'elle devait me revenir. Et dans son dernier souffle, il me dit qu'il était important pour l'avenir d'Impiltur que je reste en vie et que je trouverais de l'aide à Outentown.

Des larmes commencaient à couler sur les joues du jeune homme. Gêné, presque honteux, il les essuya du revers de la main.

Siegfried : Le fait est que je suis perdu. Mon pays est en ruine, sombre dans la corruption, je ne sais pas qui je suis et je ne le saurai peut être jamais. J'ai peur...

Il enfouit la tête dans ses mains et sanglota.

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Vimaire avait écouté avec attention les paroles de Siegfried et commença à comprendre un peu mieux le comportement du chasseur de démon. Aujourd'hui il se retrouvait seul et ne savait que faire, sa dureté n'était qu'apparente. Derrière se cachait "une petite fille faible qui souhaitait se blottir dans les bras de sa mère". Après réflexion, posément, il prit la parole de sa voix bourrue :

Vimaire : Siegfried, mon gars, dans un premier temps assieds-toi et remplis-toi la panse avant de repartir vers ce qui t'attend ce soir. On se bat mieux la panse pleine ! Pas vrai Finnan ?! (le semi-homme opina du chef tout en mâchant) Je ne suis pas un aficionado des grandes déclarations (soupir). Cependant considère que pour moi ce que tu as dit est oublié. Ensuite, celui que tu as le plus blessé est Orel. Je t'encourage à aller lui parler dès que tu le pourras. (pause) Enfin, je me réjouirais que tu sois à nos côtés demain chez Kalart.

Sur ce Vimaire empoigna vigoureusement sa chopine (que Finnan venait de remplir) et but une rasade de cervoise tout en réfléchissant à la suite de ce qu'il allait dire. Ayant réussi à remettre ses idées en place il reprit la parole :

Vimaire : Siegfried, aujourd'hui, le groupe d'aventuriers que nous sommes, malgré notre rencontre récente, est ce qui ressemble le plus pour moi à mon clan. Nous avons tous probablement un passé difficile, voilà qui devrait nous rendre tolérants les uns envers les autres. Je ne suis pas prêt aujourd'hui à vous révéler les raisons de ma présence ici. (reniflements) Non, pas maintenant. Cependant, essaie de te montrer plus cordial et moins froid avec tes compagnons. De plus, je rejoins Orel là-dessus, il serait bon que tu nous dises où tu te rends ce soir. Les informations que tu pourrais révéler en cas de capture, je m'en fous. Mais si je dois botter des culs pour pouvoir te récupérer, cela me faciliterait les choses de savoir où tu es. Ecoute mon gars, personnellement, je n'ai pas grand chose à faire ce soir... Alors si ton travail ne demande pas trop de discrétion et que cela ne va pas contre mes convictions, je suis prêt a mettre ma hache a ton service.

Après cette longue tirade Vimaire se tut, attendant une réponse de Siegfried.
lekidnesta

Siegfried releva la tête. Le regard échangé avec Vimaire le réconforta.

Siegfried : Je n'irai pas ce soir. C'était une folie. J'avais pris rendez vous avec un cultiste pour intégrer l'ordre et visiter la Tour. Mais vous avez raison, y aller ne mettrait pas que ma vie en péril mais gênerait aussi vos actions.

Siegfried repensa alors aux paroles de Suldar... "ta vie est importante pour le royaume..."

Saisissant la chope, il esquissa un sourire et trinqua avec Vimaire,

Siegfried : Et puis, cette vie est bien trop précieuse !


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Pendant ce temps, Orel rencontrait un marchand sur le port et lui remettait un parchemin ainsi qu?une petite bourse contenant quelques pièces. Le prêtre n'avait pas envoyé de nouvelles à ses proches depuis un bon moment et ses missions devenant de plus en plus dangereuses, il voulait avant tout faire savoir à sa famille où il était.

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Assis dans un coin, ayant raté le départ de Saga et d'Orel vers le temple où il n'était pas convié, Châteaumeillant écoutait attentivement les paroles de Vimaire, sans expression.
Souviens-toi du stab de Soissons.

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Finnan ne prêta aucune attention à Siegfried ou ses paroles. Il ne montra aucune émotion, ignorant la scène complètement et mangeant son repas son regard perdu droit devant lui.

Lorsque Vimaire et Siegfried en vinrent à trinquer, il repoussa son assiette se leva et monta dans sa chambre sans mot dire.

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Orel retourna à l'auberge en milieu d'après midi.

Châteaumeillant, Vimaire et Saga s'y trouvaient déjà. Lorsque le prêtre vit que Siegfried était attablé avec Vimaire, il fronça les sourcils. Ces deux-là avaient l'air de bien s'entendre finalement !

Saga n'était pas présent dans la salle commune. Il étudiait et méditait seul, dans sa chambre, à l'étage.

Orel s'approcha de la table où se trouvaient Vimaire et Siegfried, jetant un coup d'oeil à Châteaumaillant qui avait toujours l'air aussi perdu dans ses pensées, et même perdu tout court.

Vimaire invita Orel à s'assoir pour partager un verre, mais Orel déclina respectueusement son offre et donna rendez-vous au groupe, ainsi qu'à Siegfried, dans sa chambre, dans cinq minutes. Le prêtre monta à l'étage et frappa à la porte de la chambre du Saga. Pas de réponse. Il actionna la poignée, la prote s'ouvrit, il entra. Saga était plongé dans la lecture d'un livre volumineux à la couverture de cuir noir qu'il reconnut. Lorsqu'il l'informa qu'il souhaitait parler à l'ensemble du groupe, le mage releva la tête, intrigué par le ton. Quelque chose n'allait pas...

Quelques minutes plus tard, tout le groupe était réuni dans la chambre d'Orel et de Vimaire. Il n'échappa à l'oeil de certains que le prêtre avait préparé ses affaires.

Il commença par demander pourquoi Siegfried était encore avec le groupe alors qu'il avait été très clair chez Kalart. Siegfried expliqua son erreur et refit à peu près le même discours qu'il avait tenu à Vimaire. Orel écouta attentivement, sans broncher.

Orel (calme et digne) : Compagnons (on notait une nouvelle fois que Orel utilisait souvent ce terme, plutôt que "ami". Il était évident que pour Orel, l'amitié était précieuse, demandait un travail de longue haleine, et n'était pas accordée au premier venu en quelques jours), Siegfried, au vu des récents évènements, il faut que je vous fasse part d'une décision importante. Aussi je vous demanderai de ne pas m'interrompre jusqu'à la fin de mon discours. Je ne parlerai pas de Finnan qui a décidé de quitter le groupe bien avant la discussion chez Kalart. Il a besoin d'un cadre de travail familier et a proposé à Dorias de rejoindre la résistance de New Sarshel.

Comme vous avez pu vous en rendre compte, en ma qualité de Gardien de Torm, j'ai des principes et des valeurs auxquels je tiens absolument. Lorsque j'ai commencé cette quête, j'étais accompagné de mes frères et s?urs d'armes, Antinea et Finnan. J'ai combattu dans la résistance de Dilpur sous le commandement d'un homme extraordinaire, Iarn Delkorn pendant plusieurs années. Lorsqu'il m'a ordonné de quitter Dilpur avec Saga, Antinea et Finnan afin de préserver un livre qui devait représenter un espoir pour le pays, cela m'a fait un grand choc, mais j'ai sur le champ obéi aux ordre d'un homme à qui je faisais confiance depuis fort longtemps. Sa décision était sage, et l'avenir l'a prouvé. A cette époque, Saga n'était qu'un messager qui avait apporté un livre en Impiltur afin de nous permettre de mieux lutter contre les cultes démoniaques. Saga, vous avez été et continuez à être, et je vous en remercie, une source intarissable d'informations très utiles.

Depuis, il a coulé de l'eau sous les ponts. Cette dernière semaine (ndlr : une dizaine de jours dans les R.O.) a été plus riche en évènements et péripéties que les deux dernières années de ma vie. Des personnes sont arrivées puis parties de ce groupe, fracturant son unité qui, au début, était presque parfaite. Cette unité, ce sens de l'ordre, dont j'ai besoin pour continuer la lutte, est désormais totalement absent du groupe que nous formons. Le tolérer est au-dessus de mes forces. Les raisons pour lesquelles chacun d'entre vous est présent dans ce groupe sont plus que nébuleuses à ce jour. Il faut voir la vérité en face. Nous avons beaucoup de difficultés à travailler ensemble. Je suis prêt à me battre pour Impiltur, je suis même prêt à sacrifier ma vie pour cette cause, mais je ne veux en aucun cas y laisser mon humanité ou assister à la perte de la vôtre progressivement (coup d'oeil vers Siegfried). Je ne ressens pas assez votre appartenance à Impiltur, vous ne semblez pas faire partie de ses plus fervents défenseurs. Ce qui est logique et excusable pour vous au moins, Saga, étant donné que vous êtes un étranger à ce pays.

Cette situation est problématique à mes yeux. Le groupe semble égaré, mis à part vous, Saga, qui suivez peu ou prou le même agenda que moi. Mais, étant un étranger, vous n'êtes pas un patriote et je suis convaincu qu'aider Impiltur n'est pas seulement la raison de votre présence parmi nous. Votre confrontation avec Dorias le démontre. Vous cherchez de toute évidence quelque chose ici. Vous êtes un mage et devez aimer le pouvoir et accroître votre puissance arcanique. Les secrets des anciennes magies de Narfell sont forcément une opportunité que vous ne voulez pas laisser passer et l'acquisition de plus de pouvoirs demeure l'un de vos objectifs, c'est évident. J'ai bien vu comment brillaient vos yeux lorsque vous avez récupéré l'orbe de Shoval ou même à la perspective de reconstituer le bâton de Tyridis. Pour moi, vous allez trop vite, c'est trop de force en trop peu de temps, et j'espère de tout c?ur que vous parviendrez à contrôler tous les pouvoirs que vous récupérerez au cours de vos aventures. Mais je digresse, revenons à ma décision.

Finnan m'a parlé de son désir de rejoindre la résistance de New Sarshel. Il m'a même proposé que l'on y adhère tous les deux. Bien que j'aie acquis une grande expérience au sein d'une telle organisation au cours des dernières années, il y a pourtant d'autres personnes dans ce pays qui ont besoin de ma présence.

(Orel reprit son souffle)

Orel (ton solennel) : C'est pourquoi je vous annonce que je vais accepter l'offre que m'a faite Lord Pelimbrar, lorsque nous étions à Outentown, de rejoindre son entourage immédiat. J'y retrouverai une structure ordonnée, plus fidèle aux principes que je défends. Lord Pelimbrar est un homme honorable qui a su s?entourer de chevaliers qui partagent sa vision. Il a besoin d'un chapelain. Et moi, j'ai besoin, spirituellement, de me rapprocher de la divinité que je sers.

C'est d'ailleurs là aussi un point qui nous divise. A mes yeux les dieux représentent notre salut. Mis à part vous, Vimaire, qui rendez régulièrement vos dévotions à Clangeddin et l'honorez sur le champ de bataille, je ne vois guère de grâce, de dévotion et de piété dans ce groupe. Tout le monde devrait être guidé par la main divine. (regardant Siegfried) Penser que les dieux sont faibles est un blasphème. Ils ont contribué à notre création et nous leur devons un grand respect. Je ne parle bien sûr pas des divinités qui se sont fourvoyées dans l'erreur et qui proposent à leurs adeptes la facilité du côté sombre de l'existence. Croire en une divinité c'est aussi pouvoir compter sur une force supérieure dans les moments les plus sombres, y puiser du reconfort, y trouver une source d'inspiration. La foi peut agir comme une ancre afin de ne pas se perdre en chemin, faire naitre en nous le sentiment profond et salvifique d?appartenir à quelques chose d'éternel et d'universel, un sentiment qui nous dépasse, qui nous arrache à notre simple condition de pécheurs et nous associe à un projet grandiose. C'est ma foi envers Torm qui m'a permis de tenir le coup toutes ces années. Grâce à la Loyale Fureur, je ne me suis pas perdu en chemin.

Mon départ vous permettra également de vous épanouir j'en suis sûr, surtout vous Siegfried et Châteaumeillant. Vous avez souvent l'air perdu, ne sachant trop ce que vous faites ici. Il faut que votre détermination à aider Impiltur soit forte. Votre famille, Châteaumeillant, compte sur vous pour faire la différence dans un pays qui sombre davantage chaque jour.

Je suis certain que nos chemins se croiseront dans l'avenir. Nous poursuivons le même but, en tout cas je veux le croire. Nos méthodes sont différentes et nos moyens d'y arriver dissemblables. Mais retenez bien mes paroles : tous les moyens ne sont pas acceptables pour atteindre notre objectif. Prétendre le contraire vous condamnerait à vous perdre en chemin, à perdre ce que vous être, à perdre votre individualité, à perdre votre vraie force intérieure.

Ce n'est donc pas un adieu mais un au-revoir...

Une dernière chose. Je vous laisse les richesses que nous avons accumulées pendant nos aventures (il montre son lit sur lequel se trouve un sac). Je n'ai pris que le strict minimum, de quoi m'acheter une monture et de la nourriture pour le voyage.

Le calme emplit à nouveau la pièce. Orel se saisit de son sac, prêt à partir.

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Vimaire se doutait que la réaction des autres ne serait aussi souple que la sienne. Peut être son passé avait-il eu une incidence sur cela. Par contre Vimaire avait toujours du ressentiment envers Siegfried. Lorsque Siegfrief avait voulu trinquer, il n'avait pas tendu sa chope.

Par contre il faudrait qu'il parle avec Finnan car il appréciait réellement le semi-homme et sa réaction l'avait peine.

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Après le long discours d'Orel Vimaire se sentit bouleversé, il ne l'aurait pense quelques jours plus tôt lorsqu'il avait rencontré ses précédents compagnons d'aventure mais Orel était une personne particulière , en effet si Finnan était ce qui se rapprochait le plus d'un ami la liaison entre Orel et Vimaire avait lieu au niveau spirituel. Il décida qu'il ne pouvait laisser Orel partir sans le remercier.

Vimaire: Orel, je comprends et respecte votre décision même si elle m'attriste cependant je peux vous assurer une chose: tant que je serai vivant ce groupe ne se livrera pas a des exactions, je ne le permettrais pas. Vous êtes le mieux place pour me comprendre, le rapport que j'ai avec Clangeddun est similaire a celui que vous entretenez avec Torm. Votre départ me désole cependant nous aurons l'occasion de nous revoir lorsque nous irons rendre visite a Lord Pelimbrar. Et j?espère qu'un jour vous pourrez m'appeler "mon ami"

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Saga écouta attentivement le discours d'Orel. Il appréciait ce jeune prêtre depuis le début. Il hocha la tête, de temps à autre, en signe d'approbation. A la fin du discours, il sourit très légèrement. Mais, il ne dit pas un mot, il ne fit aucun commentaire. Surprenant... de la part d'un homme habituellement prolixe...
lekidnesta

Siegfried savait que ce remue-ménage lui était imputable.
Les sentiments étaient mêlés.
D'une part, de la culpabilité mais d'autre part du soulagement.
Il est clair que les principes stricts d'Orel le gardaient dans le droit chemin mais cette discipline, Siegfried n'était pas encore capable de s'y tenir. Il y aurait sans doute eu encore des accrochages, du moins pendant un temps.
Siegfried comprit également mieux le pouvoir des mots et de la diplomatie et son regard se tourna vers Saga, silencieux. Siegfried prit exemple sur le mage et ne commenta pas la déclaration d'Orel. Pourtant il en crevait d'envie.
Il se contenta d'un,
"Bon voyage".

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Se redressant du haut de son mètre soixante huit, Châteaumeillant émerge du fond de la salle: "Bon je prends note Orel mais j'ai l'impression d'être désavoué car faisant partie de ce groupe désuni où je viens à peine d'arriver. Non seulement je ne suis pas d'accord mais en plus je ne comprends pas bien. Le raisonnement me paraît faible. Vous ajoutez du chaos là où il y en a déja. Vous me proposez de rester avec un solotiste et un Mage assez rude, moi et le Nain? Ca fait un peu double peine, et pour la psychologie on repassera. Et si je quitte le groupe moi aussi pour aller bouder? Tout le monde quitte alors? que croyez-vous qu'il va se passer à présent?
Souviens-toi du stab de Soissons.

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Orel regarda Châteaumeillant avec son sang-froid habituel.

Orel (patient) : Je laisse le soin à Saga et Vimaire de vous expliquer mes propos dont vous n'avez visiblement pas saisi la teneur...

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Bien sûr, je n'ai pas compris la teneur, comme vous n'essayez pas de comprendre ce que je vous dis. Vous ne m'avez même pas écouté.
Souviens-toi du stab de Soissons.

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Orel : Je suis désolé que vous le preniez comme cela.

Orel ouvrit la porte de la chambre, sortit et descendit les escaliers pour sortir de l'auberge et s'en aller vers son destin.
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